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Biography & Autobiography Business

Saisir sa chance

Mémoires de David M. Culver

by (author) David M. Culver & Alan Freeman

translated by Christine Gonthier

Publisher
Les Presses de l'Universite d'Ottawa
Initial publish date
Sep 2018
Category
Business, Political, Personal Memoirs
  • eBook

    ISBN
    9782760324848
    Publish Date
    Sep 2018
    List Price
    $29.99
  • Paperback / softback

    ISBN
    9782760324824
    Publish Date
    Sep 2018
    List Price
    $39.95 USD

Classroom Resources

Where to buy it

Description

David Culver, figure clé tant du milieu des affaires que du milieu culturel canadien, raconte son enfance à Montréal, ses études aux universités McGill et Harvard et son service militaire pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il décrit surtout sa spectaculaire ascension au sein d’Alcan, jusqu’à accéder au poste de président-directeur général, devenant du coup le chef d’une des plus grandes sociétés multinationales du Canada, dont le siège social était à Montréal. 
Ces mémoires lèvent le voile sur la gestion d’une multinationale bien enracinée en sol québécois. Il propose des conseils pragmatiques sur la manière de cultiver le talent, développer la technologie et surmonter les défis au sein d’une entreprise qui opère aux quatre coins de la planète. 
Au fil de délicieuses anecdotes et d’inoubliables rencontres avec des grands du XXe siècle – dont Margaret Thatcher, Henry Kissinger et Jawaharlal Nehru – David Culver se révèle un imposant leader aux intérêts et aux talents multiples. 
Dans ses mémoires, David Culver médite sur sa passion pour l’architecture – et ses initiatives de protection du patrimoine montréalais par l’entremise de la Maison Alcan – et l’importance de la musique et du sport dans sa vie. Saisir sa chance témoigne de l’optimisme de Culver, qui a de tout temps cru que les choses les plus extraordinaires peuvent arriver lorsqu’on s’y attend le moins.

About the authors

Né en 1924, a joint les rangs de la société Alcan en 1947, après des études à McGill et à Harvard, et en fut le président-directeur général de 1979 à 1989. M. Culver a été reçu officier de l’Ordre du Canada en 1983, Compagnon de l’Ordre du Canada en 1988, et Officier de l’Ordre national du Québec en 1990. Il a été intronisé au Temple de la renommée des hommes d’affaires canadiens et s’est vu décerner des doctorats honoris causa des universités McGill, de York et de Sherbrook

David M. Culver's profile page

Professionnel en résidence à l’École supérieure d’affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa depuis 2014, au terme d’une période en tant que fonctionnaire en résidence. Il était auparavant sous-ministre adjoint aux consultations et communications au Ministère des finances du Canada. Alan est diplômé de l’Université McGill et a reçu une maîtrise en journalisme de l’Université Columbia.

Alan Freeman's profile page

Traductrice agréée de l’anglais au français (ATIO et OTTIAQ), propriétaire de l’agence Traduction Zénith et romancière à ses heures (finaliste au prix Robert-Cliche; mention spéciale Prix Jacques-Poirier).

Christine Gonthier's profile page

Excerpt: Saisir sa chance: Mémoires de David M. Culver (by (author) David M. Culver & Alan Freeman; translated by Christine Gonthier)

J’ai eu une enfance heureuse et sans histoires. Je suis né à Winnipeg, mais j’ai grandi au centre-ville de Montréal, dans le Mille carré doré, à l’ouest de l’Université McGill et au nord de la rue Sherbrooke. Au xixe siècle, le Mille carré doré était devenu l’enclave des familles les plus riches et les plus influentes du Canada, avec des dynasties comme Molson, Redpath, Van Horne et McTavish. C’était le repaire des magnats, des fonceurs qui ont bâti le chemin de fer ouvrant l’ouest du pays, des hommes d’affaires accomplis qui contrôlaient les banques et les empires industriels à l’origine du Canada moderne.

Editorial Reviews

 

[La biographie] de David Culver décédé l’an dernier à l’âge de 92 ans et qui fut président de la société Alcan de 1979 à 1989 après une longue carrière où il entra dans l’entreprise en 1947 vaut le détour. (...) On a donc demandé la collaboration d’Alan Freeman un homme à la longue feuille de route journalistique et ancien sous-ministre adjoint aux consultations et communications au ministère des Finances du Canada. Ce dernier a hésité au début craignant des frictions sur le ton à donner à ce récit. Mais les deux hommes se sont entendus à merveille. Au final, une saga captivante au possible.

Daniel Rolland